En2006, elle illustre le conte musical antillais de Serge BilĂ© et Joby BernabĂ©, Tiwa et la pierre miroir ONG spĂ©cialisĂ©e dans la lutte contre le sida et dont la parution s’est malheureusement limitĂ©e Ă  un seul numĂ©ro, faute de moyens financiers. Nous jeunes contenait les cinq premiĂšres planches d’une sĂ©rie de LĂ©o H. Mpessa : Raicha et les scorpions. L’arrĂȘt de

Article Ă©crit par Malou BĂ©ziat, Ă©tudiante en M1 LittĂ©rature GĂ©nĂ©rale et ComparĂ©e Dans le cadre d’un festival confinĂ© pour cause de COVID-19, il est un peu ironique, peut-ĂȘtre, de produire un article sur la pandĂ©mie. Cependant, nous pouvons sĂ»rement profiter de ce contexte pour penser une problĂ©matique Ă©tonnante, mais pourtant bel et bien existante la maladie se chante-t-elle ? La chanson, objet populaire, ne semble pas particuliĂšrement propice Ă  une rĂ©flexion sur la mĂ©taphore morbide. En effet, on prĂ©fĂšre entendre une chanson d’amour, heureuse ou triste, qu’une chanson sur la maladie ; comme l’écrit Susan Sontag La maladie est une zone d’ombre de la vie, un territoire auquel il coĂ»te cher d’appartenir. En naissant, nous acquĂ©rons une double nationalitĂ© qui relĂšve du royaume des biens-portants comme de celui des malades. Et bien que nous prĂ©fĂ©rerions tous prĂ©senter le bon passeport, le jour vient oĂč chacun de nous est contraint, ne serait-ce qu’un court moment, de se reconnaĂźtre citoyen de l’autre Pourtant, ces chansons existent bien Ă  cet Ă©gard, nous pouvons citer Tumeur » d’AloĂŻse Sauvage, Quand c’est ? » de Stromae ou encore l’album Black Star de David Bowie. Ce sont lĂ  des reprĂ©sentations relativement rĂ©centes de ce qui jusqu’alors semblait rejetĂ© dans le domaine de l’obscĂšne, ce que prĂ©cisĂ©ment on ne met pas en scĂšne, qu’on ne montre pas. Or le cancer Ă©voquĂ© dans ces chansons reste, parmi les maladies, un objet noble une pathologie de l’intĂ©rioritĂ©, qui ronge, comme l’évoque Susan Sontag, parce que le sujet connaĂźt un trop plein d’émotions, et contre laquelle on se bat. L’abondance mĂ©taphorique permet une mise en scĂšne de l’individu comme hĂ©ros tragique menant un combat contre lui-mĂȘme, l’avĂšnement non seulement du moi » mais aussi une plongĂ©e dans l’inconscient, un voyage initiatique qui le changera Ă  jamais et aboutira Ă  la guĂ©rison comĂ©die ou Ă  la mort tragĂ©die. Mais qu’en est-il de la reprĂ©sentation de la maladie Ă©pidĂ©mique ? Celle qui se transmet et qui par sa transmission mĂȘme se rĂ©vĂšle stigmatisante ? À l’occasion de la trente-deuxiĂšme journĂ©e mondiale de lutte contre le SIDA le 1er dĂ©cembre, il est important de rappeler que la maladie sĂ©vit toujours, et que les efforts tournĂ©s dans la lutte contre le COVID-19 tendent Ă  invisibiliser la lutte contre le VIH. Cependant, le COVID-19, de loin, rappelle avec l’injonction d’une limitation drastique des contacts physiques cette problĂ©matique que le SIDA posait dĂ©jĂ  la crainte de l’autre, des rapports amoureux, s’inscrivant ainsi Ă  la fois en maladie d’amour » comme la dĂ©crivait Michel Sardou, mais Ă©galement en maladie de l’amour », chargeant le contact amoureux de cette menace terrifiante de mort. Vous nous avez dit faites l’amour, pas la guerre. Nous avons fait l’amour, pourquoi l’amour nous fait-il la guerre ? » s’exclamait l’un des danseurs de Maurice BĂ©jart dans Le PresbytĂšre n’a rien perdu de son charme, ni le jardin de son Ă©clat, ballet créé comme une rĂ©ponse indignĂ©e Ă  la mort du danseur Jorge Donn et Ă  celle de l’emblĂ©matique chanteur du groupe Queen, Freddie Mercury, dĂ©cĂ©dĂ©s tous deux des suites du SIDA. Ce dernier avait rĂ©alisĂ© en 1991, l’annĂ©e de sa mort, l’album Innuendo, et avait enregistrĂ© une ultime chanson co-Ă©crite avec Brian May qui sortira en 1995 Ă  titre posthume sur l’album Made in Heaven Mother Love ». Étrange objet que cette chanson, Mother Love », qui par son titre semble porteuse d’un idĂ©al bouddhiste ou hippie d’amour universel, donnant la primautĂ© originelle Ă  cet amour, — se faisant Ă©cho d’un hĂ©donisme caractĂ©ristique des annĂ©es 1970-1980 et qui fut partagĂ© par le groupe Queen Ă  cet Ă©gard, on peut citer des chansons comme The Miracle » ou A Kind of Magic » — mais qui, par ses arrangements et ses paroles, prend en tous points les aspects de la plainte ainsi, l’amour de l’amour qu’a souvent manifestĂ© Freddie Mercury dans ses compositions semble essoufflĂ©. Les premiĂšres mesures, comme un pouls, laissent les synthĂ©tiseurs promener leur mĂ©lodie qui nous entretient dĂ©jĂ  du ton mĂ©lancolique que prendra le texte, lorsque son chanteur soufflera d’une voix dĂ©sabusĂ©e, profonde et grave I don’t want to sleep with you / I don’t need the passion too / I don’t want a stormy affair / To make me feel my life is heading somewhere / All I want is the comfort and care / Just to know that my woman gives me sweet / Mother love2 Mother Love » une impossible quĂȘte ? C’est en fait le rĂ©cit d’une sublimation que nous dĂ©voile Mother Love » Freddie Mercury, co auteur-compositeur-interprĂšte de cette chanson, se prĂ©pare en effet Ă  un changement d’état. L’amour physique ne lui permet plus de se rĂ©aliser. Bien plus, c’est un cri lancĂ© Ă  l’intime [
] all the love that I crave3» qui s’échappe de cette chanson ; aprĂšs les frasques d’une vie teintĂ©e de scandales, Freddie Mercury exprime un dĂ©sir lacanien de retour impossible Mama please / Let me back inside4 ». Il cherche Ă  se rĂ©fugier loin du bruyant amour » comme le qualifie François Jullien, cet Éros qui est en train de lui coĂ»ter la vie, mais bien au creux de cet origine en dedans », au plus intĂ©rieur de l’intĂ©rieur On comprend donc que cet intime se dĂ©couvre originellement, et peut-ĂȘtre mĂȘme de prĂ©fĂ©rence, hors de la relation amoureuse, qui passionnĂ©e, captatrice, est, au dĂ©part et dans son principe, toujours intĂ©ressĂ©e. Son temps Ă  lui est d’avant, du commencement. Il est de l’enfance, quand la sĂ©paration d’avec l’Autre n’est pas encore consommĂ©e l’intimitĂ© du C’est lĂ  tout l’enjeu de la chanson, la recherche dĂ©sespĂ©rĂ©e mais rĂ©solue d’un endroit oĂč mourir, mais pas n’importe lequel l’amour premier et inaltĂ©rable qui soit aussi sĂ»r que la protection utĂ©rine pour se soustraire au monde dont on se sait Ă©jectĂ© bientĂŽt, le besoin enfantin d’ĂȘtre rassurĂ© I long for peace before I die6 ». En fait, Mother Love » porte en germe une rĂ©volution de l’intime, une opposition constante entre l’extĂ©rioritĂ© et l’intĂ©rioritĂ©, entre Éros et AgapĂš, qui livre une rĂ©flexion sur l’Amour en gĂ©nĂ©ral, et sur ses variations I’ve walked too long in this lonely lane / I’ve had enough of this same old game / I’m a man of the world and they say that I’m strong / But my heart is heavy and my hope is gone / Out in the city, in the cold world outside / I don’t want pity just a safe place to hide7 Le refus de la pitiĂ©, alors qu’une partie de la tradition philosophique fonde la connaissance de l’autre sur ce sentiment, est selon François Jullien ce qui prĂ©cisĂ©ment est l’indicateur de la recherche de l’intime, cet endroit intĂ©rieur qui, dans son partage, crĂ©e le lien avec l’autre. Cette interprĂ©tation confirme la thĂšse de Susan Sontag, selon laquelle un des topoĂŻ de la littĂ©rature morbide est la mĂ©taphore du voyage initiatique on a la [
] conviction que l’individu devient plus conscient lorsqu’il est confrontĂ© Ă  sa » Cependant, le SIDA a cela de particulier qu’il est Ă  l’époque oĂč Freddie Mercury enregistre Mother Love » et encore aujourd’hui parfois considĂ©rĂ© comme une maladie honteuse du fait de ses voies de transmission principales, sanguine ou sexuelle. vous Ă©tiez d’appartenir Ă  ces groupes Ă  risques qu’étaient les toxicomanes ou les homosexuels, la maladie rĂ©vĂ©lant aux yeux de tous vos mƓurs dans les deux cas taxĂ©es de dĂ©viantes. Susan Sontag indique Ă  ce propos [
] on prend le SIDA pour une maladie non seulement de l’excĂšs sexuel, mais de la » ; ce stĂ©rĂ©otype rĂ©active des siĂšcles de pensĂ©e judĂ©o-chrĂ©tienne et voit le SIDA opportunĂ©ment stigmatisant pour condamner la communautĂ© LGBT+. Au travers de sa chanson, Freddie Mercury ne vient pas se repentir, sa confession n’adhĂšre pas Ă  cette lecture ; il vient au contraire rĂ©humaniser, Ă  l’époque oĂč l’on craint ne serait-ce que de les toucher, les personnes vivant avec le VIH, en faisant rĂ©sonner sa propre voix Ă  l’aune de sa mort. On l’entend alternativement dire sa plainte puis la crier, on l’entend craindre et perdre espoir, avoir juste besoin de la triste main » amie dont parlait Alfred de Musset, pour accepter la catastrophe intime10 » de la maladie ; et si catastrophe » en grec est l’autre nom de ce qu’Aristote, dans sa PoĂ©tique, appelait pĂ©ripĂ©tie », elle Ă©voque comme elle un retournement dans l’action avant le dĂ©nouement de la piĂšce et la mort du hĂ©ros. Peut-ĂȘtre, dĂšs lors, peut-on voir dans le dernier couplet un exodos Freddie Mercury n’a pu mener jusqu’au bout l’enregistrement de cette chanson, trop Ă©puisĂ© et ne pouvant plus chanter. Aussi est-ce Brian May, prenant le rĂŽle du ChƓur, qui chante les derniers mots ou maux de son ami My body’s aching but I can’t sleepMy dreams are all the company I keepGot such a feeling as the sun goes downI’m coming home to my sweetMother Love11 La voix prĂ©-enregistrĂ©e de Freddie Mercury passe comme un vent, rĂ©pĂ©tant Mother Love » ; on peut entendre Ă  sa suite rĂ©sonner un extrait du concert de Wembley en 1986, oĂč il s’amusait avec le public, puis un trĂšs court extrait accĂ©lĂ©rĂ© de la discographie complĂšte de Queen, ainsi qu’un extrait de la chanson Goin’ Back » et finalement, les pleurs d’un nourrisson au travers de ce chant du cygne, il aurait donc rĂ©ussi son voyage vers le tout premier amour, celui de l’indissociable, de l’entier, nous donnant un magnifique exemple de comment se vit la maladie en chanson lorsqu’on s’appelle Freddie Mercury, qui parvient Ă  l’extrĂ©mitĂ© de son talent Ă  nous rendre jaloux, en nous faisant croire — c’est le propre du mythe — qu’il aura rĂ©ussi Ă  percer le secret des origines. Malou BĂ©ziat Susan Sontag, La maladie comme mĂ©taphore [1977-1978], suivi de Le sida et ses mĂ©taphores [1988-1989], tr. Marie-France de PalomĂ©ra pour La maladie comme mĂ©taphore et Brice Matthieussent pour Le sida et ses mĂ©taphores, Paris, Christian Bourgeois Éditeur, Choix-Essais », 1993, p. 46. [↩] Je ne veux pas coucher avec toi / Je ne veux pas non plus d’une passion / Je ne veux pas d’une histoire orageuse / Pour me donner l’impression que ma vie a un but / Tout ce que je veux c’est du rĂ©confort et de l’attention / J’ai juste besoin de savoir que ma femme me donne la douceur / de l’amour maternel », notre traduction. [↩] [
] l’amour dont j’ai tant besoin » [↩] Maman je t’en prie, laisse-moi revenir Ă  l’intĂ©rieur en ton sein » [↩]François Jullien, De l’intime. Loin du bruyant amour, dir. Jean-Paul Enthoven, Paris, Grasset, Le Livre de Poche », 2013, p. 95. [↩] Je veux trouver la paix avant de mourir » [↩] J’ai trop errĂ© dans ce paysage dĂ©sertique / J’en ai assez de ce jeu de dupes / Je suis un homme du monde et ils disent que je suis fort / Mais mon cƓur est lourd et mon espoir est mort / Au cƓur de la ville, dehors dans ce monde glacial / Je ne veux pas de pitiĂ© mais un abri oĂč me cacher » [↩]Susan Sontag, La maladie comme mĂ©taphore [1977-1978], suivi de Le sida et ses mĂ©taphores [1988-1989], tr. Marie-France de PalomĂ©ra pour La maladie comme mĂ©taphore et Brice Matthieussent pour Le sida et ses mĂ©taphores, Paris, Christian Bourgeois Éditeur, Choix-Essais », 1993, p. 46. [↩]Ibid, p. 151 [↩]Claire Marin, La maladie, catastrophe intime, Presses universitaires de France, Paris, 2014. [↩] Mon corps me fait mal mais je ne peux pas dormir / Mes rĂȘves sont dĂ©sormais mes seuls compagnons / Je ressens quelque chose de fort tandis que le soleil se couche / Je reviens chez moi dans la douceur / de l’amour maternel » [↩]

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Solidays, le plus gros festival français, aprĂšs les Vieilles Charrues en Bretagne, tient sa 20e Ă©dition ces vendredi, samedi et dimanche Ă  l'hippodrome de Longchamp fraĂźchement rouvert, avec plus de fans attendus. Créé sur des valeurs de partage et d'entraide, pour mobiliser le plus grand nombre face au flĂ©au du sida, il peut se targuer d'un bilan impressionnant outre qu'il franchira, avec cette Ă©dition, la barre des 3 millions de festivaliers depuis l'origine, il a aussi formĂ© bĂ©nĂ©voles, reçu artistes, soutenu programmes de solidaritĂ© dans 42 pays et rĂ©coltĂ© 25 millions d'euros pour lutter contre le a rĂ©sistĂ© Ă  l'Ă©preuve du temps et Ă  la forte concurrence de festivals nĂ©s aprĂšs lui en Ile-de-France Rock en Seine , We Love Green , le Download, le Lollapalooza, et cette annĂ©e le Summer Jam
C'est un ovni musical qu'a imaginĂ© en 1999 Luc Barruet, alliant concerts 80 cette Ă©dition sur 9 scĂšnes diffĂ©rentes, confĂ©rences donnĂ©es par des personnalitĂ©s reconnues Esther Duflo, RaphaĂ«l Glucksmann, Thierry Marx
, et Village SolidaritĂ© constituĂ© d'associations engagĂ©es une centaine cette Ă©dition !. Solidays est un outil performant dont tout le monde reconnaĂźt la crĂ©ation de valeur sociale exceptionnelle. Il n'y a pas d'Ă©quivalent dans le monde, nous sommes ultra-performants Ă©conomiquement et les bonnes annĂ©es nous dĂ©gageons 2 Ă  2,5 millions de rĂ©sultat, avec une marge de plus de 40 %, car nous fĂ©dĂ©rons beaucoup de bĂ©nĂ©voles et de partenaires privĂ©s », souligne le directeur fondateur du ajoute-t-il, nous sommes un gĂ©ant aux pieds d'argile. Depuis 6-7 ans les soutiens publics n'augmentent plus alors que le festival a connu une croissance de 40 % ». Sur un budget de 5,5 millions, ces financements publics pĂšsent 1,5 million dont pour la rĂ©gion et les appuis privĂ©s 1,2 % du budget de SolidaritĂ© SidaLes recettes dĂ©gagĂ©es par Solidays reprĂ©sentent 70 % du budget annuel de l'association SolidaritĂ© Sida. Autant dire que le rĂŽle de cette kermesse musicale et sociale est crucial pour elle. Or les charges du festival augmentent sĂ©curitĂ©, logistique du nouveau Longchamp compliquĂ©e, hausse de cachets artistiques
, quand les ressources restent stables. La manifestation veut rester accessible, avec un pass 3 jours Ă  partir de 39 euros, prix inchangĂ© depuis 10 permanente compte une trentaine de salariĂ©s, un effectif modeste au vu des multiples actions menĂ©es par SolidaritĂ© sida. Nous donnons du sens au quotidien de beaucoup de gens et suscitons de nombreuses vocations. A l'international, nous ne sommes pas assez nombreux pour rĂ©pondre Ă  toutes les demandes », poursuit Luc Barruet, lequel peut se targuer d'avoir retenu l'attention de la fondation Bill Gates. Ce vendredi, il n'hĂ©site pas Ă  affrĂ©ter un car pour amener les jeunes dĂ©putĂ©s de l'AssemblĂ©e Nationale Ă  Longchamp pour une dĂ©couverte des coulisses du festival et surtout les sensibiliser Ă  la Festivals de musique quel est le modĂšle Ă©conomique du secteur en France ? Et pourquoi il est obligĂ© de se rĂ©inventer
Du29 juillet au 2 aout, se tiendra Ă  MontrĂ©al la trĂšs importante 24e ConfĂ©rence internationale sur le sida, au Palais des congrĂšs. Ce sera le moment de faire le point sur la recherche mais pas que ça. La derniĂšre fois qu’il y a eu un tel Ă©vĂ©nement, c’était en juin 1989 pour la 5e ConfĂ©rence []
Pays Tous les pays Afrique du Sud Algérie Angola Botswana Burkina Faso Burundi Bénin Cameroun Cap-Vert Centrafrique Comores Congo-Brazzaville Congo-Kinshasa Cote d'Ivoire Djibouti Egypte Erythrée Eswatini Ethiopie Gabon Gambie Ghana Guinée Guinée Bissau Guinée Equatoriale Ile Maurice Kenya Lesotho Liberia Libye Madagascar Malawi Mali Maroc Mauritanie Mozambique Namibie Niger Nigeria Ouganda Rwanda Sahara Occidental Seychelles Sierra Leone Somalie Soudan Sud-Soudan São Tomé and Príncipe Sénégal Tanzanie Tchad Togo Tunisie Zambie Zimbabwe Toute l'Afrique Afrique Centrale Accueil Afrique Centrale Angola Burundi Cameroun Centrafrique Congo-Brazzaville Congo-Kinshasa Gabon Guinée Equatoriale Rwanda São Tomé and Príncipe Tchad Afrique de l'Est Accueil Afrique de l'Est Burundi Comores Djibouti Erythrée Ethiopie Ile Maurice Kenya Madagascar Ouganda Rwanda Seychelles Somalie Soudan Sud-Soudan Tanzanie Afrique du Nord Accueil Afrique du Nord Algérie Egypte Libye Maroc Sahara Occidental Tunisie Afrique Australe Accueil Afrique Australe Afrique du Sud Angola Botswana Eswatini Lesotho Malawi Mozambique Namibie Zambie Zimbabwe Afrique de l'Ouest Accueil Afrique de l'Ouest Burkina Faso Bénin Cameroun Cap-Vert Cote d'Ivoire Gambie Ghana Guinée Guinée Bissau Liberia Mali Mauritanie Niger Nigeria Sierra Leone São Tomé and Príncipe Sénégal Togo Rubriques Toutes les Rubriques Afrique et Amérique Latine Afrique et Europe Afrique et Moyen Orient Afrique, Asie et Australie Agroindustrie Aide et Assistance Aliments et Agriculture Armes et Armées Athlétisme Banques Bourse Climat Commerce Conflit Construction Coronavirus Corruption Coupe du Monde Dette Devises Divertissement Droits de l'Homme Développement Durable Eau Ebola Eco-tourisme Education Energie Enfance Entreprises Environnement Fabrication Faune Femmes et Genre Finance Flux de Capitaux Football Gouvernance Grossesse et Accouchement Infrastructures Innovation Investissement Jeux Olympiques Justice et Lois Livres MNT Maintien de la Paix Migrations Musique Média NTIC Nutritive ONG Océans Organisations Internationales Paludisme Parcs Animaliers Polio Privatisation Produits Pétrole Relations Extérieures Religion Ressources MiniÚres Revue Littéraire Revue Musicale Réfugiés SIDA Santé et Médecine Science Sports Terres et Gestion Rurale Terrorisme Transport Travail et Syndicats Tuberculose USA, Canada et Afrique Urbanisation Voyages Divertissement Accueil Divertissement Livres Musique Revue Littéraire Revue Musicale Finance Accueil Finance Agroindustrie Banques Bourse Commerce Construction Dette Devises Energie Entreprises Fabrication Flux de Capitaux Infrastructures Investissement NTIC Privatisation Produits Pétrole Ressources MiniÚres Transport Travail et Syndicats Conflit Accueil Conflit Armes et Armées Maintien de la Paix Réfugiés Terrorisme Environnement Accueil Environnement Climat Eau Faune Océans Santé et Médecine Accueil Santé et Médecine Coronavirus Ebola Grossesse et Accouchement MNT Nutritive Paludisme Polio SIDA Tuberculose Sports Accueil Sports Athlétisme Coupe du Monde Football Jeux Olympiques Voyages Accueil Voyages Eco-tourisme Parcs Animaliers Coronavirus Développement Aide et Assistance Aliments et Agriculture Education Environnement Femmes et Genre Santé et Médecine BizTech Accueil Finance Agroindustrie Banques Bourse Commerce Construction Dette Devises Energie Entreprises Fabrication Flux de Capitaux Infrastructures Investissement NTIC Privatisation Produits Pétrole Ressources MiniÚres Transport Travail et Syndicats Divertissement Accueil Divertissement Livres Musique Revue Littéraire Revue Musicale Sports Accueil Sports Athlétisme Coupe du Monde Football Jeux Olympiques Afrique/Monde Afrique et Amérique Latine Afrique et Europe Afrique et Moyen Orient Afrique, Asie et Australie Organisations Internationales USA, Canada et Afrique Gouvernance Corruption Droits de l'Homme Gouvernance Justice et Lois Média ONG Terres et Gestion Rurale Multimédia Vidéo Audio Document Site Pages Focus Sur Reportages photos Sustainability D'AllAfrica News S

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Plusieurs vaccins contre le Covid-19 trouvĂ©s en quelques mois, aucun contre le sida aprĂšs des annĂ©es de recherches comment expliquer un tel Ă©cart ? Par la nature du VIH, difficile Ă  neutraliser, mĂȘme si des essais continuent pour en venir enfin Ă  bout. Investissements colossaux, procĂ©dures accĂ©lĂ©rĂ©es et pistes innovantes de recherches – en rĂ©alitĂ© en dĂ©veloppement depuis des dĂ©cennies – ont permis l’an dernier Ă  diffĂ©rents vaccins contre le coronavirus de voir le jour en un temps qu’est organisĂ©e demain mercredi la JournĂ©e mondiale de lutte contre le sida, force est de constater que la lutte contre le VIH n’a pas connu le mĂȘme destin. Et malgrĂ© de formidables progrĂšs pour le traiter, il tue encore 680 000 personnes dans le monde en sa dĂ©couverte en 1983, la recherche d’un vaccin contre le virus de l’immunodĂ©ficience humaine VIH, qui a pour caractĂ©ristique d’affaiblir le systĂšme immunitaire, n’a pourtant pas flanchĂ©. Mais ce virus s’avĂšre, par sa nature, particuliĂšrement complexe Ă  dĂ©cimer, soulignent les VIH infecte les cellules du systĂšme immunitaire » dans l’ADN, desquelles il intĂšgre son matĂ©riel gĂ©nĂ©tique, explique Ă  l’AFP le Pr Olivier Schwartz, directeur unitĂ© virus et immunitĂ© Ă  l’Institut Pasteur. Cela le rend beaucoup plus difficile Ă  cibler car ces cellules immunitaires, quand elles ne sont pas sollicitĂ©es, traversent des phases dormantes pendant lesquelles le virus passe sous les alors qu’une premiĂšre infection contre le SARS-CoV2 – dont on guĂ©rit dans la plupart des cas naturellement – permet d’acquĂ©rir une immunitĂ©, ce n’est pas le cas avec le incessantesEn second lieu, sa variabilitĂ© est sans commune mesure avec celle du coronavirus il mute beaucoup plus facilement », il est donc plus difficile de gĂ©nĂ©rer des anticorps Ă  large spectre qui pourraient bloquer l’infection », souligne le Pr on sait vacciner contre un variant assez rapidement, mais pas quand un virus mute trop », souligne Nicolas Manel, directeur de recherches Ă  l’Inserm, chef d’équipe Ă  l’Institut Curie. RĂ©cemment, l’essai d’un vaccin en Afrique subsaharienne, qui devait protĂ©ger contre plusieurs variants du VIH, a pris fin en raison d’une efficacitĂ© jugĂ©e insuffisante. Pour trouver un vaccin, il faudra que ce soit un choix majeur, mais le marchĂ© est aujourd’hui trĂšs faible pour les groupes pharmaceutiques. On dĂ©plore un manque d’investissement criant sur cette question, relĂšve aussi M. Manel. De nombreux chercheurs sont trĂšs motivĂ©s mais ils font avec les moyens du bord. »Mettre au point un vaccin reste pourtant a priori la seule maniĂšre d’éradiquer totalement le virus, avec lequel vivent encore prĂšs de 38 millions de personnes dans le monde. Certes, pour traiter le sida, on dispose aujourd’hui d’une boĂźte immunitaire une trithĂ©rapie qui marche merveilleusement bien et des mĂ©dicaments pouvant prĂ©venir la maladie », rappelle Monsef Benkirane, directeur de recherche Ă  l’Institut de gĂ©nĂ©tique humaine au CNRS. Mais au-delĂ  de l’accĂšs au traitement, il reste un problĂšme d’adhĂ©sion Ă  celui-ci, y compris en Europe », messager porteur d’espoirPlusieurs dizaines de vaccins sont actuellement Ă  l’étude. L’un d’eux, lancĂ© cet Ă©tĂ© par le laboratoire Moderna, est basĂ© sur la technologie de l’ARN messager qui a fait le succĂšs de son vaccin contre le Covid. L’utilisation de cette technologie est une nouvelle porte qui s’ouvre, pleine d’espoir pour des virus comme le VIH », veut croire le Pr Gilles Pialoux, chef de service des maladies infectieuses et tropicales Ă  l’hĂŽpital Tenon, spĂ©cialiste du sida. Les rĂ©sultats dĂ©finitifs ne devraient toutefois pas ĂȘtre connus avant plusieurs annĂ©es. On n’a jamais autant appris sur le systĂšme immunitaire que ces derniĂšres annĂ©es », se fĂ©licite Serawit Bruck-Landais, directrice des programmes scientifiques et mĂ©dicaux de Sidaction. De lĂ  Ă  dire qu’on pourra rapidement mettre au point un vaccin, ce serait beaucoup s’avancer », l’épidĂ©mie de coronavirus a eu un impact trĂšs nĂ©gatif sur la lutte contre le sida en perturbant gravement l’accĂšs aux systĂšmes de santĂ©, aux dĂ©pistages et aux traitements dans de nombreux pays, les chercheurs espĂšrent toutefois qu’elle permettra aussi des avancĂ©es, y compris sur le plan vaccinal. On n’a jamais autant parlĂ© de santĂ©, de maladies infectieuses, de l’effort collectif nĂ©cessaire pour lutter contre une pandĂ©mie globale », souligne Serawit TOURNÉ/AFP Plusieurs vaccins contre le Covid-19 trouvĂ©s en quelques mois, aucun contre le sida aprĂšs des annĂ©es de recherches comment expliquer un tel Ă©cart ? Par la nature du VIH, difficile Ă  neutraliser, mĂȘme si des essais continuent pour en venir enfin Ă  bout. Investissements colossaux, procĂ©dures accĂ©lĂ©rĂ©es et pistes innovantes de recherches – en rĂ©alitĂ© en dĂ©veloppement depuis... apour but la prĂ©vention et le dĂ©pistage du SIDA, l'information de tous, l'assistance morale aux personnes concernĂ©es et favoriser la recherche concernant la maladie et son traitement. 2013/5525 2 Les 24 et 25 mars 2013, elle a proposĂ© Ă  la salle Rameau, deux reprĂ©sentations de la piĂšce "Freddie", créée Ă  l'occasion de la JournĂ©e Mondiale 2012 de Lutte contre le Sida, afin d
Sida Info Service, association nationale de lutte contre le sida, a mis en place depuis 2002 un observatoire des discriminations envers les personnes atteintes Ă  partir d’un questionnaire proposĂ© aux usagers de ses dispositifs tĂ©lĂ©phoniques d’aide Ă  distance et de son site Internet. Le baromĂštre 2005, Ă©tendu pour obtenir une information plus prĂ©cise dans le cadre de la Grande Cause Nationale, montre une absence d’évolution en ce domaine puisque aujourd’hui encore, prĂ©s de 6 personnes sur 10 57,3% dĂ©clarent spontanĂ©ment avoir dĂ©jĂ  Ă©tĂ© discriminĂ©es du fait de leur sĂ©ropositivitĂ©. Et lorsque que l’étude explore plus avant dix domaines potentiels de discriminations, c’est plus de 8 personnes sur 10 81,4% qui ont subi au moins une forme de discrimination ou d’exclusion. Cette situation est d’autant plus prĂ©occupante que, parmi ces personnes, seules 21% d’entre elles n’ont citĂ© qu’un seul domaine de discriminations et 61% trois domaines ou plus la vie quotidienne reste pour le plus grand nombre un parcours de rejets successifs dans la vie sociale, professionnelle et privĂ©e. Dans la vie sociale et professionnelle, le milieu mĂ©dical hors sida, le monde du travail et le domaine des banques et des assurances restent les principaux espaces d’exclusions des personnes atteintes respectivement 43,7%, 33,7% et 33,6% de l’échantillon. Dans la sphĂšre privĂ©e, 63,3% des personnes ont Ă©tĂ© victimes de discriminations et de rejet de la part d’une partenaire sexuelle, d’une conjointe ou ex-conjointe, d’une amie ou d’un membre de leur famille. Ce constat est rĂ©current depuis le lancement du baromĂštre en 2002, constat confirmĂ© par les nombreux tĂ©moignages reçus notamment sur Sida Info Droit, Sida Info Service et Ligne de vie. Alors que le mois d’octobre de l’annĂ©e Grande cause nationale est consacrĂ© aux discriminations, Sida Info Service alerte l’ensemble des acteurs institutionnels et associatifs et appelle Ă  une vaste prise de conscience politique face Ă  une situation intolĂ©rable persistante qui rĂ©duit les personnes sĂ©ropositives Ă  des citoyens de seconde zone. Face Ă  cela, force est de constater que la loi de lutte contre les discriminations du 12 juillet 1990 est insuffisante, seuls trois cas ayant donnĂ© lieu Ă  ce jour Ă  une condamnation en justice. C’est pourquoi, aprĂšs avoir appelĂ© Ă  la crĂ©ation de la HALDE, nous attendons beaucoup de la Haute AutoritĂ© qui doit non seulement aider les personnes en les accompagnant individuellement mais aussi proposer une politique globale de lutte contre les discriminations. L’enquĂȘte a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e lors d’une confĂ©rence de presse lundi 3 octobre Ă  Paris et mise en ligne sur le site Internet Une confĂ©rence-dĂ©bat est organisĂ©e, dans le dĂ©partement, le mardi 25 octobre Ă  la Salle FerriĂšre de Saint Laurent du Var – Esplanade du levant Contacts National Marc Morel, coordinateur juridique, 01 44 93 16 19 Local Sophie Becquet, DĂ©lĂ©guĂ©e DĂ©partementale, 04 92 09 18 91, Mail [email protected]

Ainsi notre pays est le deuxiĂšme contributeur du fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme derriĂšre les États-Unis. Depuis la crĂ©ation de ce fonds, le total cumulĂ© de notre contribution a atteint 4,8 milliards de dollars. Cette premiĂšre confĂ©rence mondiale depuis l’arrivĂ©e de Donald Trump au pouvoir s’est donc lĂ©gitimement tournĂ©e vers

Aujourd’hui dans le monde, 36,7 millions de personnes vivent avec le VIH et prĂšs de la moitiĂ© n’a toujours pas accĂšs aux traitements. Chaque annĂ©e en France, ce sont plus de 6 000 personnes qui dĂ©couvrent qu’elles sont sĂ©ropositives ; 150 000 personnes vivent avec le VIH, dont 25 000 l’ignorent. La soirĂ©e caritative du DĂźner de la mode de Sidaction est l’occasion pour Pierre BergĂ© et Line Renaud de rappeler ces chiffres, de rappeler qu’il n’existe toujours pas de vaccin et qu’on ne guĂ©rit pas du sida. Le 26 janvier 2017, le Grand Palais a donc accueilli plus de 500 personnes au DĂźner de la mode organisĂ© par Sidaction et la FĂ©dĂ©ration Française de la Couture, pour une 15Ăšme Ă©dition exceptionnelle. Ce dĂźner permet chaque annĂ©e de mobiliser le monde de la mode, du cinĂ©ma et des mĂ©dias en faveur de la lutte contre le sida. Cette annĂ©e encore, ils Ă©taient nombreux Ă  rĂ©pondre prĂ©sents, rĂ©unis autour de Pierre BergĂ©, prĂ©sident de Sidaction et Line Renaud, vice-prĂ©sidente de l’association, pour tĂ©moigner de leur engagement. Parmi eux, les actrices Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Diane Kruger, Kristin Scott-Thomas, Monica Belluci ou encore Laetitia Casta ; les crĂ©ateurs Jean-Paul Gaultier, Azzedine AlaĂŻa et Isabel Marant, entre autres. GrĂące Ă  la prĂ©sence de ces personnalitĂ©s de choix, ce dĂźner a Ă©tĂ© une rĂ©ussite et a permis de collecter 775 000 euros au profit de la lutte contre le sida. Les bĂ©nĂ©fices de ce gala seront rĂ©partis conformĂ©ment aux statuts de l’association 50 % Ă  des programmes de recherche et de soins et 50 % Ă  des programmes de prĂ©vention et d’aide aux personnes sĂ©ropositives en France et dans le monde. Cela reprĂ©sente une aide concrĂšte et consĂ©quente pour des centaines de programmes, d’associations et de chercheurs, qui se battent et font avancer la lutte contre le VIH/sida au quotidien. En 14 ans, le DĂźner de la mode a permis de collecter plus de 8,5 millions d’euros, redistribuĂ©s selon nos statuts 50 % Ă  la recherche et aux soins, 50 % Ă  l’aide aux malades et prĂ©vention. Toutes les informations sur Sidaction Cliquez-ici
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