Alors tu vois comme tout se mêleEt du cœur à tes lèvres, je deviens un casse-têteTon rire me crie de te lâcherAvant de perdre prise et d’abandonnerCar je ne t’en demanderai jamais autantDéjà que tu me traites comme un grand enfantEt nous n’avons plus rien à risquerÀ part nos vies qu’on laisse de côté Et il m’aime encoreEt moi je t’aime un peu plus fortMais il m’aime encoreEt moi je t’aime un peu plus fort C’en est assez de ces dédoublementsC’est plus dur à faire qu’autrementCar sans rire, c’est plus facile de rêverÀ ce qu’on ne pourra jamais plus toucherEt on se prend la main comme des enfantsLe bonheur aux lèvres, un peu naïvementEt on marche ensemble d’un pas décidéAlors que nos têtes nous crient de tout arrêter Il m’aime encoreEt toi tu m’aimes un peu plus fortMais il m’aime encoreEt moi je t’aime un peu plus fortUnsoir Place de la République. Et comme tu vois c’est bien la fin. Je dois traverser l’océan demain matin. De tes bras, je m’arracherai tout doucement. Et c’est la réalité qui m’attend. Je
On s’est connus le temps de plaire Aux exigences qu’on s’est créées, mais on s’y perd Tu n’es qu’à quelques kilomètres Et nos cœurs, nos cœurs sont restés dans cette mer J’ai couru en longeant la Seine En espérant te retrouver, l’âme sereine J’ai couru sans savoir comment Ni pourquoi on s’emballe, On ne s’est connus qu’un moment Et je ne sais plus si tu en vaux la peine C’est plutôt dur d’en être certaine Et quand tu seras à la Porte des Ternes Ce soir, ne m’oublie pas Je t’attendrai au moins le temps de dire Que j’ai voulu prendre le plus grand risque Un soir qui m’a rendue bien triste Un soir, Place de la République Et comme tu vois, c’est bien la fin Je dois traverser l’océan demain matin De tes bras, je m’arracherai tout doucement Et c’est la réalité qui m’attend Je sais, ton cœur est habité Par une ou d’autres filles qui t’ont marqué Moi je suis moins forte que les autres Mais j’espère tant te manquer, tant me démarquer Et je ne sais plus si tu en vaux la peine C’est plutôt dur d’en être certaine Et quand tu seras à la Porte des Ternes Ce soir, ne m’oublie pas Je t’attendrai au moins le temps de dire Que j’ai voulu prendre le plus grand risque Un soir qui m’a rendue bien triste Un soir, Place de la RépubliqueJai couru en longeant la Seine En espérant te retrouver, l'âme sereine J'ai couru sans savoir comment Ni pourquoi on s'emballe, on ne s'est connus qu'un moment Et je ne sais plus si tu en vaux la peine C'est plutôt dur d'en être certaine Et quand tu seras à Pearson Ce soir, ne m'oublie pas Je t'attendrai au moins le temps de dire Que j'ai voulu prendre le plus grand risque Un soir
Tes lèvres en tremblent encore et l’homme que ton cœur porte semble moins fortEt si le combat prend finC’est sûrement parce qu’on t’a pris par la mainEt tout bas tu me murmures que tout ce j’aime tu me l’assuresEt dans tes défaites tu me promets qu’un nouveau jour est pour demain Doucement tu me fais voir les plus douces de tes histoiresEt plus notre idylle avance d’autres filles entrent dans la danse Ses lèvres en tremblent encore et sous mon poids son cœur vibre plus fortEt les craintes qu’elle a s’amplifientElle sait qu’une autre fut dans mon litTout bas je lui murmureDe calmer toutes ses inquiétudesEt dans mes mensonges je lui rappelleQu’à mes yeux il n’y a plus qu’elle Doucement tu me fais voir les plus douces de tes histoiresEt plus notre idylle avance d’autres filles entrent dans la danse
Carla vie est ailleurs. Et ton amour subsiste. Pour un sourire un songe. Qui feront qu'il existe. Tu t'entremêles et tu restes enfermée. Car tes songes te disent que tu es mieux ainsi. Et le monde t'inspire ce que tu redoutais. Car les peines des plaisirs tu aimes mieux éviter. Et tu t'entremêles et tu restes enfermée.
Parolesde Place de la république par Cœoeur de pirate. On s'est connu le temps de plaire Aux exigences qu'on s'est créées mais on s'y perd Tu n'eMZFmKj.